Fin des vacances

De retour d'Arles où cette année encore on a pu découvrir plein de belles expositions avec un petit coup de cœur pour celle de Hans Silvester sur la vie harmonieuse du peuple Bench d'Ethiopie qui développe l'agrosylvopastoralisme.

Point de cela à Arles, mais à noter toutefois dans le quartier de la Roquette, le développement de bacs labellisés "Incroyables Comestibles" qui ajoutent encore du charme à cet endroit très attachant.

A Paris, les fortes chaleurs de ces derniers jours ont fait baisser drastiquement l'eau dans les bacs et  le persil, la jeune vigne, les œillets d'inde et le basilic n'ont pas survécu; le mirabellier a lui perdu toutes ses feuilles.

Seule la Belle de nuit et les pieds de tomates ont bien résisté, ces derniers se payant même le luxe d'une nouvelle floraison.

Autre surprise, les graines de tomates germées récupérées dans une tomates très mûre et insérées dans les cubes de laine de roche juste avant de partir, semblent avoir apprécié leurs deux semaines de chaleur et se sont développées dans de l'eau pure, sans engrais!

Weekend à la Hague, mirabellier et vigne

L'été s'est installé et Paris cède la place aux touristes qui déambulent en short avec leur lance à selfies.
Il fait chaud et c'est l'occasion de visiter des endroits où il fait, disons, un peu plus frais...
La pointe de la Hague est magnifique à cette période, la végétation est luxuriante dans les villages et sur les plages.

Une des fleurs qui s'épanouit à cette saison est le compagnon rouge qui laisse admirer l'ingéniosité de la nature quand il s'agit de préparer les graines pour les semis.

De retour à Paris, c'est l'occasion d'observer la croissance de ma vigne

Et de présenter mon mirabellier dans toute sa hauteur, racines comprises, alors que les premières mirabelles arrivent sur les étals des commerçants.